Un visiteur venu d'ailleurs

V'savez ...

Des rats qui entre dans nos murs par on ne sais quel trou c'est pas nouveau
d'ailleurs... le capitaine de la garde sais que ces gardes sont complètement inutile?
laissant des hommes rats entrer dans notre belle forteresse comme bon leur semble

*Raymond regardait en direction des grandes portes qui retenais les rats de sépulcrites*

Mais ce... familier

*Raymond lança sa charcuterie entourée de pain vers le rat*

Gardez le bien a l'oeuil
je l'aime déjà plus qu'un elfe mais il s'agit tout de même d'un Xeno
mais je ne suis pas non plus un imbécile
ca race est agile et rusé
Et très efficace à maîtriser les armes et outils qu'on leur enseigne

Nul ne doit savoir qu'il est sous nos ordres... cela porterait atteinte a l'ordre chevaleresque du temple

À la vue de tous il n'est qu'un simple rat... une créature du Zoo de la haine ...
une créature auquel on accorde aucun regard sauf celui de dédain
une créature qui ramperait dans la boue a la première occasion donné
une créature que nul n'imaginerait être réchauffé par la lumière de l'unique
une créature si immonde et immorale que leurs actes ne sont souvent pas pris en compte avant qu'il ne soit trop tard

...Bref , Nous avons la un parfait petit espion

*Raymond leva doucement son petit doigt sur le coin de la bouche et releva un sourcil *

Le bruit sourd du marteau du cogneur tombé au sol fit sursauter Roland. Il avait du s'endormir dans un coin de la chapelle à un certain moment pendant l'attente. La vue du xeno-rat n'aidait en rien à le convaincre qu'il était bel et bien réveillé, mais ne voulant prendre aucun risque, il resta assis à observer la scène.

Soeur Bérangère, flattez ces xenos a la GB ne voys a pas suffit?? Maintenant vous les protegez?? Est ce que la maladie qui pourrie l'âme des sepulcrites a ateint notre bonne vieille chapelle??

En signe d'approbation a se que venait de dire frère de montmagny Plessier leva aussi doucement son petit doigt sur le coin de la bouche et releva un sourcil*

Bon, j'en ai terminé ici, je crois. Je dois aller voir le charpentier pour une nouvelle porte. Je crois que ça va prendre un certain temps avant que je n'aille plus de courant d'air. Les fortifications sont leur priorité. De toute façon....

Le frère se retourne et part en direction de sa chambre en priant à voix basse.

Frère Goyet aperçus le ras s'approcher de lui et liché le sang qui était sur son armure. Il ne fut point étonner de voir une telle créature à l'intérieur, petite comme ele était et clairement bien agile, pénétrer a l'intérieur du krak devais être bien facile pour lui.

Il le regarda, eu un sourire en coins, le genre de sourire qu'il à lorsqu'il ce bat contre un ennemi qui lui offre un combat digne d'un Templier!


Si tu sais que ce n'est pas mon sang, Tobo. Laisse moi te poser ces deux questions:
D'ou pense tu qu'il vien?
Et si tu pense correctement, crois tu alors que c'est sécuritaire d'être aussi prèt de moi?

Il le regarda encore quelque instant, n'attendans pas vraiment de réponse de la part du rat et regarda Plessier qui arrivait alors.

En pleine forme mon frère! Et en vous inquietez pas, je n'est point votre talent, je ne suis pas encore capable de terasser une armée à moi entière à l'aide d'une lance.

Frère Goyet vu par la suite son frère et fidèle ami arrivé sur son destrier, sauter sur le sol et sortir son bec de corbin et ne pu s'empêcher de penser tout haut.

Mes cher frère je vous demande maintenant ce qui différencie un frère de la commanderie du sanctuaire aux autres!

Il était fière de compter Frère Raphaël parmis c'est frère et très fière de faire partie de la commanderie du santcuaire, cela n'était un secret pour personnes bien évidemment.

Je partage votre avis Raphaël, mais si le Maestre lui a donner le droit de vie, pour l'instant, nous nous devons donc de donner exemple.

Je n'ai point entendu le bon et omniscient maestre sur le propos, de fait je viens d'arriver...je n'entend toujours pas notre douteuse soeur a ce sujet d'ailleurs....Aldebert qui s'asombrie de jours en jours, les lyons qui tolere une elf...maintenant les templiers avec un Skaven....je ne vois PAS comment tout cela va finir mise a part par un bucher...

frère Raphael, ne detachant aucunement son regard du xeno puant, arme au poing pret au combat

Vous lisez dans mes pensés mon frère...c'est plutot triste de voir les choses allé au fur et à mesure que le temps s'écoule.

Sa ne sera plus le Ducher de Bicolline mais bel est bien le Bucher de Bicolline.

Frère Raphaël le Cogneur wrote:je n'entend toujours pas notre douteuse soeur a ce sujet d'ailleurs....Aldebert qui s'asombrie de jours en jours, les lyons qui tolere une elf...maintenant les templiers avec un Skaven....

-Frère Goyet, Frère Raphael, je ne voix pas en cette créature un Xénos, mais plutôt un simple familier t'elle un cheval, un âne ou même un chien! Jamais je ne placerais cette race au même titre que celui des hommes. Contrairement au elfe cette petite créature ne ce prend pas pour autre chose et s'il ne sais pas ce tenir, il iras rejoindre le Zoo de la Haine... Pour ce qui est d'Aldebert, sont Âme semble maintenant complètement corrompus par les voix de Tératos et il est de notre devoir de Protéger notre Église.

*Monquefort regarda le Donjon du Krak a travers les vitraux de la chapelle.

-En c'est mur nous protégeons les très sainte-écritures de notre Église. Nous ne serions Laisser tomber c'est texte sacré au main d'un Hérétique et de Païen!






-

Le Maître a raison!


*marmonne pour elle-même, pensive* Enfin ... même si je désapprouve la comparaison avec le chien... le ch'val, à la rigueur... même si, ma foi, ça reste toujours moins pire qu'un chat!



Allons allons, Frère Raphaël... vous scandez tout de suite le bûcher ... ... vous vous enflammez pour un rien!
S'il vous plait, ne comparez pas Tobo à cette elfette de Marylune! Parce que c'est insultant, déjà, et puis il y a une grosse différence entre accepter une aide bienvenue, sans perdre de vue sa juste place et valeur, et hisser une sous-race au rang de héros de St-Vorador, quand un millier d'autres soldats humains mériteraient davantage cette distinction.

Quant à Aldebert, ne nous rendez pas coupable de son tragique destin: ce ne sont point nos actes qui assombrirent son âme, mais l'idée qu'il s'en fit, et les ténèbres où il sombra tout seul... ces mêmes affaires qui le poussent à nous assiéger aujourd'hui.


Et puis, vous savez, Tobo peut vraiment se rendre utile! *se tourne vers le frère à l'armure tachée de sang* Il semble vous apprécier et vous respecter, Goyet, et vous dites qu'il y a fort à faire pour défendre la forteresse des attaques des Sépulcrites? Emmenez le donc avec vous, il sera sûrement ravi de se battre à vos côtés, et il va peut-être même vous étonner! Et ça lui permettra de se défouler, et faire ce à quoi il est le plus doué ... *après être ado-rat-ble, j'entends*... et au moins, tant qu'il est dehors, il ne risque pas de grignoter les tapis des couloirs... vous voulez bien? Hein dites?

*tourne la tête vers le Rat* ... et toi Tobo, dis moi ... ça te plairait d'aller casser du crâne ennemi avec le guerrier plein de sang?

Le skaven resta proche de la sœur, il savait que sa vie dépendait d’elle présentement. Même pas armé, les templiers pouvait le tuer, en se nombre. Tout de suite, le Skaven montra le collier qu’il portait au cou; comment est-ce que le bijou était déjà rendu la resta un mystère.
Le skaven regarda Gaspard : « Ah, mais c’est simple! J’ai entendu dire qu’il avait des gens à tuer. Tuer des gens, c’est amusant. Ils disent : Quand les rats quittent le navire… Attend. Y’a pas de navire ici… »
Le skaven se gratta la tête; c’était trop compliqué la. « Mais oui, mon nom est Tobo. Je suis supposé aider la sœur… Il a apparemment des choses étranges qui arrivent… »
« Les catacombes? Parfait! Est-ce qu’il a de l’eau sale avec pleins de déchets pour moiiiiii? » Demanda-t-il a Monquefort : L’homme venait de lui dire que l’homme rat pouvait rester dans un hôtel cinq étoile AVEC nourriture et eau gratuite. Pourquoi pas!
« Et c’est bon, la. Je sais c’est quoi qui faut que je ne fasse pas. Je sais que vous pouvez me trucider, mais la… Si j’ai bien compris, il faut savoir regarder un peu plus loin que ce que l’on voit, car il y a plus d’une chose caché derrière l’image… C’est ce que je demanderais de votre égard envers moi. »
Quand le cavalier lourd arriva, on pouvait entendre le skaven marmonner « Ah ben... Un autre qui voudra me trucider… »
« Oh! Un bec de corbeau. C’est une armure vachement amusant ça, surtout comme les gens amuré!!! » Le sourire du skaven qui suivi pouvait faire vomir quelques âmes faibles.
« Oh… » Commença le rat en regardant Montmagny. « Vous, vous avez compris. On apprend vite. Mais… Même moi, petite race laide et poilu, je comprends pourquoi vous ne me voulez pas dans votre terrier… Officiellement. C’est pour cela que je peux… Peut-être rester dans des endroits pas très… chev…cheval…. Valres… Res… Res. Que. Cheval de rai.Non non… attend… Queue de rat en laisse. Non attend… Que-dal en rai. Non! Ce mot là, la, que vous avez dit ya pas trop longtemps. Dans les catacombes. Cela ne me surprendrai pas qu’on essaye de rentrer par-là, c’est donc là que je pourrais être utile… »
Le rat regarda le frère Goyen, quand il demanda ses questions; le rat regardait les yeux de gens. Cette créature ne regarda pas les pieds, ou les mains, mais les yeux, une signature de son côté sauvage qui ressortait : Les mots peuvent parler, mais il n’a rien comme le feu, la peur, et d’autres émotions derrières les yeux.
« Le sang viens des soldats… D’Alde-père? Adel-pete? Adel…biere? Bah! Ces soldats-là. Et en fait, oui, pour l’instant. Car je sais que si tu voulais me tuer, mais VRAIMENT me tuer… Tu ne me parlerais pas, non ? Tant que je te gosse pas trop. Mais c’est vraiment bon ce sang-là, c’est qui ? Ou quoi ?! »
Le rat se licha les babines, avant de dévorer le morceau de viande et de pain qui lui avait été lancé ; rien compare au sang de… Ce qui recouvrait l’armure.
Bloodlust.
Le feu brula dans les yeux du skaven. « Je ne suis pas trop bon dans les combats ou on fait face à face… Surtout quand je suis le seul skaven. Mais donné moi une mission, cette mission sera accomplis. » La fureur retenu dans l’expression facial de l’animal pouvait faire peur, ou donner des frissons a ceux qui n’était pas habitué de voir cela. « mmmm… Mais donné moi pas une mission stupide. Tobo n’est pas stupide. » Il s’accroupi, et se colla contre la sœur, regardant de bas tous les templiers.
Dans la gueule du loup ? Non. La gueule du loup n’était pas si pire que ces templiers, surtout quand la seul protection qu’il y a c’est … Une pacifiste.

Ce n'est pas à moi de décider si tu vis ou meurt. Pour l'instant le Maestre te laisse vivre alors tu peux vivre. Mais je ne suis points daccord pour t'amener te battre avec la commanderie du Sanctuaire.
Elle est efficace parce que ceux qui en font partie ce connaisse et on confiance entre leur frères et soeur.
Je ne dit pas que tu ne seras pas utile, mais pas sur la ligne.
Mais ne t'inquiète si tu veux du sang ennemi tu aura surement la chance d'en tuer...qui sais ce qu'il nous réserve encore, il tomberons peux être du ciel sous de grande voillure...

Aldebert est le seul et unique responsable de son destin ma soeur, il est tombé dans la corruption et n'en ressortira pas vivant.
De plus ma soeur, ne reprocher pas le gout ardent pour les bucher du Cogneur, au moins il a encore la flamme en lui!

Bérangère baisse la tête et considère le Rat blotti tout contre ses jambes.

Tobo, tu... tu es vraiment sûr de vouloir rester dans les catacombes?

Une pointe de surprise et d'inquiétude percent dans la voix de la nonne, alarmée... mais à côté de ça, l'enthousiasme du Skaven ne fait aucun doute.

*soupir* ... alors va pour les catacombes... mais... ne va pas t'enfermer tout seul dans une geôle, hein!

Frère Goyet wrote:je ne suis points daccord pour t'amener te battre avec la commanderie du Sanctuaire.
Elle est efficace parce que ceux qui en font partie ce connaisse et on confiance entre leur frères et soeur.

Mmmmh ... je comprends mon frère... il ne vous suivra pas sur la ligne ... cela semble lui convenir tout autant qu'à vous, de toute façon.

Bérangère va pour flatter le skaven derrière l'oreille.

Je compte sur vous, mes frères, pour lui assigner quelques missions spéciales, en plus de celle de surveiller les catacombes, afin d'évaluer ses talents ... je lui en donnerais bien moi-même, mais voyez-vous, je doute fort que plier du linge, tresser des cordes de chasteté et refaire des bandages à l'infirmerie constituent des défis très intéressants pour lui. *continue en chuchotant pour elle-même* ... S'occuper de l'amputation des blessés, à la limite...

*reportant son regard vers le skaven* Cela t'irait, Tobo?


Quant au Cogneur, Frère Goyet, v's'savez, je ne lui reproche rien ... je dis juste que là où il passe, ça sent le soufre.

Frère d'Avignon sort du confessionnal, l'air plutôt troublé et le teint définitivement blême.

Mon Maître, pour ce que vous venez de me confesser, je ne vois d'autres alternatives que de vous mettre aux fers et vous enlever le blanc manteau. Or, en ces temps de siège, ce serait insensé. Vous nous ferez donc des Pater Noster à voix haute en tout temps, quand vous n'aurez pas autre chose à faire. Dieu le veut!

Il salua son vieil ami le frère Gaspard qui s'en allait. Un modèle de piété et de sobriété. Jamais il n'a eu à le punir, lors des confessions. Si tous nos frères étaient aussi vertueux, nous n'en serions pas où nous en sommes, se disait-il.
Les yeux un peu dans les vapeurs, la main crispée sur sa blessure qui saignait encore un peu, il se tourna maintenant vers le skaven, l'air sceptique, mais détaché, froid, indifférent.

Bonjour, Tobo. Je ne vous souhaiterai pas la bienvenue dans nos murs, votre place est selon mon humble avis au Zoo de la Haine de Mehl El Neil. Nous travaillons si fort pour son embellissement. Vous semblez être un sujet particulièrement intéressant.

Le chevalier se tourne vers ses frères encore présents et continue de parler, un peu comme un instituteur qui instruit ses élèves, en marchant en rond à pas feutrés, marquant ses paroles par des gestes de sa main libre.

Vous prenez des hommes comme frère Goyet ou frère Plessier, ce sont des exemples d'acharnement au combat, In nomine Caritas. Prenez des gens comme frère Raphaël, il est un modèle de fureur divine, dont la flamme est bien forte, certes, In nomine Ordo. Mais prenez une forme de vie comme un skaven, ou encore un orc ou un gobelin, vous obtiendrez là une chose dangereuse avec laquelle jouer, une créature dont il est très risqué de s'approcher, de s'attacher. *regard lourd d'austérité envers sœur Bérengère et, une fois de plus, le Maître*

Frère d'Avignon plonge maintenant son regard dans les yeux du skaven.

Mon cher Tobo, un espion est une arme à double tranchant et sachez que je ne remets aucunement en doute votre intelligence. C'est d'ailleurs ce qui me met en garde contre vous. Contrairement aux animaux, dénués de raison, les hommes-rats et autres sous-races sont capables de dévotion. J'ai ouïe dire que vous auriez peut-être vu la Lumière de Dieu, Tobo? Si tel est le cas, les voies du Seigneur sont réellement impénétrables et le temps du Jugement Dernier approche à grands pas. Mes frères, ma sœur, souvenez-vous des xénos de son espèce. Souvenez-vous de leur allégeance aux forces du chaos, du mal, aux forces de Teratos. Les skavens ont probablement des idoles à l'image de rats, cela va de soi. Comme les orcs ont Gruk, le shaman frénétique.

Dites-moi, Tobo, qu'êtes-vous réellement venu faire ici, que recherchez-vous? Mais ne soyez pas déçu que je vous apprennes que je ne croirai rien de vos paroles. J'ai plutôt tendance à faire confiance à mes frères. Si je dois mourir en ces murs, je m'attendrais bien à un de vos poignards dans mes côtes. Vous semblez être bien excité par la vue et probablement l'odeur du sang, une des cinq voies de Teratos. La voie qu'a choisi de suivre Aldebert, à moins que ce ne soit la voie de la bête? Parlez, nous vous écouterons, mais faites vite, je crois que je devrai bien vite retourner à l'infirmerie.

Le frère s'assoit, attendant un récit qui pourrait bien être ponctué par le fer de Goyet ou du Cogneur. Il ne peut s'habituer à la vue de Bérengère caressant l'oreille du sujet à l'étude.

Frère Raphael baissa tranquillement son arme suite a l'intervention du grand Maestre

Je baisse mes armes car le grand Maestre t'a octroyer un surcis...souvient toi s'en, nous savons tous comment cela va finir. fait toi à l'idée imédiatement, vous aussi soeur Bérangère...un surcis, rien de plus.

Sur ce, je dois repartir au front ou le fétide Aldebert essaie par tout les diables, littéralement, de passer nos lignes pour salir le nom de Montjoie. mais je vais revenir pour toi Tobo...et vous aussi Soeur Bérangère car il y a plusieurs questions qui devront être repondu...

Mon père, merci de votre présence, j'espère que vos paroles d'une sagesse monqueforesque vont donné raison aux autres. J'aurai aimer rester pour assister mais le devoir m’appelle. je viendrais vous voir pour confesser mes péchés des mon retour, n'ayez crainte.

frere raphael, ramassa son marteau, salua le trop patient Maestre, le virtueu pere d'Avignon puis remonta sur son cheval, fit un signe de tete a son fidel frere Goyet puis partit au triple galot dans la direction d'ou il était venu

Penaude, Bérangère ne dit pas un mot alors que le frère d'Avignon discourt devant eux. Elle n'ose même pas croiser son regard.

Autant se faire incendiée et menacée de bûcher par le Cogneur ne lui plus ni chaud ni... chaud, autant sentir le regard lourd d'austérité du vieux prêtre posé sur elle la brûle de honte.
Bérangère rougit et baisse à nouveau la tête, mais pour regarder le sol, cette fois. Elle sait bien qu'il a raison. Evidemment qu'il a raison. Enfin...


Alors que l'homme en bure s'adresse à Tobo, Bérangère a l'air de plus en plus pensive, et si elle continue de fixer le sol, ce n'est plus par gêne. Et quand le frère finit son questionnement, elle fronce les sourcils.
Bérangère lève son regard vers d'Avignon, avec l'air, pour la première fois, de le remettre en question.


" Mon père...

Je comprends votre inquiétude quant au fait d'héberger un xéno en nos murs. Croyez le ou non, mais je n'ai pas plus de sympathie que vous pour la plupart des sous-races, et particulièrement celles associées au culte de Tératos. *prononce ce dernier mot avec un dégoût certain* Mais, et que Tobo corrige mes paroles si je me trompe, je ne crois avoir déjà vu quoique ce soit qui ressemblerait de près ou de loin à un chaman ou prêtre parmi les Skavens, ni même à un début de pensée idolâtre... ... en même temps, je dis ça, mais je ne me suis jamais aventuré chez eux. Et pour tout vous dire, les raisons qui les poussent à d'ordinaire se battre aux côtés des forces Tératosiennes me restent encore un mystère, sur lequel Tobo pourrait peut-être nous éclairer... savez-vous par ailleurs qu'il arriva déjà aux siens de partir au combat en criant pour l'Unique? C'est un récit intéressant que Dame Charis saurait vous rapporter bien mieux que moi.

Sachez également que j'éprouve le même respect que vous pour Frère Gaspard, frère Goyet, Frère Raphaël *si si*, et les autres, et que je confierais sans hésiter ma propre vie à chacun d'entre eux, s'il le fallait...*oui oui, même à vous frère Raphaël*.

Mais tous les hommes ne sont pas de la trempe de nos frères, et ne valent guère mieux que les créatures qui vous citez.

Regardez-vous, mon père... *Bérangère promène son regard sur les blessures encore fraîches de l'homme, une lueur d'inquiétude et de souffrance au fond des yeux* est-ce aux xénos que vous devez votre piteux état?

C'est l'épée d'un Rédemptoriste qui vous tailla le coude, et la flèche d'un Saour qui perça votre flanc.
Et quant à celui qui nous assiège... ne comptait-il pas parmi nos frères, autrefois?

Ce sont des hommes qui ont voulu attenter à votre vie, et des hommes qui devront payer pour ça!

Bérangère marque une pause. Elle n'a pas l'air fâchée, mais elle s'emporte un peu, surtout sur la fin, où une bouffée de fureur lui fait serrer les poings. Elle se calme, et considère pendant un moment le frère assis, soucieuse de ses blessures, attristée de le voir si sévère.. et se sentant un peu coupable, aussi.

Ce que j'essaie de dire, mon père... c'est que par les temps qui courent, il devient difficile de savoir qui peuvent être bien être nos amis et nos ennemis. *reprit-elle, une pointe d'amertume dans la voix*
Mais sachez que je suis consciente de ce que Tobo représente, ici, et qu'en dépit de... ma bonté, je le tiendrai sous bonne surveillance. Et je peux vous promettre qu'il ne causera aucun dommage... humain, en tout cas... en ce qui concerne les meubles, je ne peux répondre de rien.
S'il s'avère incapable de vivre parmi nous, pour une quelconque raison, ou qu'il ne se plait plus ici, alors il repartira. Et si, par malheur.... un malheur, justement, devait se produire, alors... je vous promets de prendre toutes les mesures nécessaires.
Mais ... *recommence à masser le Rat derrière l'oreille* ... je ne pense pas qu'il faudra en arriver là.

Frère Raphaël wrote:mais je vais revenir pour toi Tobo...et vous aussi Soeur Bérangère car il y a plusieurs questions qui devront être repondu...

Et j'y répondrai, mon frère, quel que soit le sujet dont vous souhaiteriez m'entretenir.

*reporte son attention vers le Rat* ... Allez Tobo... vas-y, ils t'écoutent.

« Bah. On a des shamans, mais ils ne suivent pas une religion… Plus une tradition. » Commença le skaven. Honnêtement les gens autour de lui parlaient de manière à ce qu’ils ne comprennent rien. Des phrases trop longues et des dialogues qui commençait à l’ennuyer. Autour de lui, il regardait ces gens, ils ne savaient pas comment traiter avec un skaven. C’était visiblement claire, et même la façon désintéresse du skaven démontrait ceci. Les drow, eux, l’aurait déjà envoyé faire de quoi a la place de perdre du temps dans une chapelle à parler…
« Je suis venu aider. C’est mieux de faire des amis, non? Honnêtement, c’est ce que je suis venu faire. Des amis. Les skavens sont des créatures noires. Cela ne veut pas dire qu’on ne peut pas changer… Je suis sûr que vous avez déjà vue des skavens s’adapter à des conditions en temps record. »
Le skaven commença à fouiller autour de la chapelle, focalise que son ouïe à la conversation. Ses yeux et mains regardais, touchait tout ce qu’il pouvait trouver. Des bancs, des murs, des vitraux. Ce qui pourrait ressembler étrange, c’est que le skaven faisait attention de ne rien abimer.
«Mhm. Je suis une créature violente. Vous allez essayer de me dire que vous ne l’êtes pas non plus? Juste votre…zoo semble violent. » Le skaven donna un sourire cruelle au templier. Il se tourna pour regarder le cogneur. « Tu sais, si on décide de me tuer, tu ne seras pas le seul qui voudra me tuer. Tu attendras ton tour. » Le fait que la vie du skaven faisait partie de la blague ne semblait pas l’affectée pour une seconde.
Le skaven s’approcha du Frère d’Avignon, gardant une distance quand même respectable. Le skaven n’était pas si suicidaire de cela. « Comme… Votre Adle-berta, le bien peut devenir mal. Cela peut aussi dire que le mal peut devenir le bien… Non? » Un sourire machiavélique couvrait la face du skaven. C’était naturel pour cette créature de sourire de manière méchante!
« Les skavens vont se réveiller. Les skaven vont arriver en nombre. Je ne parle pas d’ici, mais bien dans le monde entier. Les skavens vont devenir une puissance… » Le skaven parla comme si il rêvait… « De leur terriers, les skavens vont arriver. Je suis un de beaucoup qui sont des… éclaireurs. Les Elfes noires nous traitent mal. Les orcs nous mangent, les gobelins nous haïssent. Vous connaissez Yark? Ben, Yark, c’est un des skavens qui va mener les skavens. Je suis son aide, plus ou moins. On recherche des alliés, des vrais alliés…. » Le rat retourna à coté de la sœur, accroupi sur le sol.

« Cela fait trop longtemps que nous somme juste de la vermine. Vous pouvez me tuer, mais cela voudrait juste dire que une fois les skaven arrivé en force, ils vont vous voir en tant qu’ennemie… C’est votre choix. Mais les skavens peuvent apprendre de ce… Unique. »

Ne t'inquiète pas, Tobo, il y a longtemps que je n'ai pas tué, même si je ne me cache aucunement d'être agressif.
Je suis un soldat de Dieu.
Or, mon travail est plutôt de guérir. Ironique, vu mon état actuel.
Je finirai bien par me remettre sur pied.

Yark. Tel pourrait être le nom d'un des acteurs du Jugement Dernier...
Tu trouves que ça manque d'action et qu'on parle trop?
J'ai deux missions pour toi.
Va me chercher une flèche de saour, je veux savoir ce qu'ils mettent sur leurs pointes, j'ai toujours envie de gerber, par Saint-Jonas!
Aussi, si tu le peux, un jour, trouve nous un homme-bête, pour le zoo, certes violent, de la Haine.

Se retourne vers ses frères et sœur Bérengère.

Et qu'est-ce que le reste de la Communitas va penser de nous si nous nous allions à des êtres tels que ceux-là?
Si mes blessures actuelles sont issues des traîtres et des infidèles, j'ai essuyé nombre de volées de flèches elfiques étant sergent...

Jacques d'Avignon wrote:
Si mes blessures actuelles sont issues des traîtres et des infidèles, j'ai essuyé nombre de volées de flèches elfiques étant sergent...

Je peux vous assurer qu'aucun elfe ne rentrera dans notre forteresse autrement que les deux pieds devant... et si cela devait de se faire d'une autre manière, il ne s'agirait pas de mon fait... ma sympathie ne va pas à tous les xénos, bien loin de là. Et je méprise autant que vous les elfes, les orcs, et les gobelins capables et coupables de prières au nom de Tératos... autant d'ennemis que nous semblons risquer d'avoir bientôt en commun avec les Skavens.


Bérangère recommence à flatter le skaven du bout des doigts.


Quant à la Communitas... elle n'est pas obligée de savoir pour notre visiteur. Pas encore tout du moins. Il est encore un peu tôt pour parler d'une alliance entre nos peuples, mais ... *baisse la tête vers le Rat*... Tobo, es-tu vraiment sûr de ce que tu avances, au sujet de l'heure de gloire des Skavens? ... Car si jamais - je dis bien si jamais, hein... comprends, Tobo, que nous ayons du mal à envisager une telle chose pour l'instant, nous ne pouvons voir de nous-mêmes ce qui se passe dans vos tunnels. - mais si ce que tu annonces devait bel et bien se produire... *reporte son attention sur ses frères* au moins, nous en serions avertis... et ne vaut-il pas mieux comprendre et voir si un dialogue est possible, plutôt que de se jeter à la gorge sans savoir ce qu'il se passe?

Bérangère essaie fort d'être convaincante et convaincue... malgré qu'elle ait l'air un peu ébranlée par les propos du skaven.

... En tout cas, on ne peut pas dire que le Père d'Avignon doute de tes compétences... au contraire... *s'agenouille pour être à la hauteur du skaven accroupi, et le regarde droit dans les yeux, tout en continuant à lui flatter la nuque... Ramener un homme-bête? ... c'est... un défi...*se montre ferme, mais ne peut cacher une petite lueur d'inquiétude dans son regard* ... enfin, je suppose.

Bérangère se rappelle alors qu'elle n'en a jamais vu, un homme-bête... tout ce qu'elle sait d'eux, c'est ce que ses frères en ont rapporté: qu'ils n'ont pas de raptors, que leurs cités volantes ne vont pas dans l'espace, et qu'ils présentent le faciès des félins... or, elle ne souvient pas d'avoir un jour eu connaissance des exploits d'un rat sur un tigre, un lion, ni même un chat. Ou alors dans une vieille fable, peut-être, à bien y repenser... mais ce genre de lecture - où les animaux parlent et où sont exaltées des moeurs douteuses sous couvert de leçon morale - n'était pas bien vu dans son ancien couvent, et elle préfère ne pas y faire allusion...

Bérangère secoue la tête pour échapper à ses nombreuses pensées. Au moins, tu n'auras pas à chercher bien loin pour la flèche de Saour, avec tous ceux qui campent nos portes, mais cela ne veut pas dire qu'elle sera aisée à récupérer... *petit sourire empreint à la fois de sympathie et de défi*

Voilà plusieurs jours d'attente...
La curiosité me ronge l'esprit.

Alors, Carcajou, cette flèche de saour, ça vient?