De retour d'Al Saoure Asif

- 1011 -

Chantant le cantique de la lumière, priant Dieu et chevauchant vers Montjoie, je m'adresse à tous les templiers.

Ne craignez pas, ce n'est que partie remise.

Si les Saoures prétendent que le Sanctuaire ne nous a jamais appartenu, ils ont raisons, il appartient à Dieu, tout comme le reste, d'Ailleurs.

Voyons voir ce que ruminent ces gueux des sables qui semblent pululer comme des lapins.

Voyons voir le résultat de l'abominable accouplement entre poulpe et corbeau,

un monstre démoniaque de plus à pourfendre de la lance de Saint-Vorador...

Ils ne comprennent pas encore que ce n'est qu'à travers la lumière de l'Unique que peut régner l'ordre et la paix.
Liberté de culte... porte ouverte au ourgatoire pour les moins pires et billet de diligence direct en enfer pour les autres...

Templiers, nous auront beaucoup à faire dans les deux prochaines années afin d'organiser et d'entraîner une armée bien plus éloquentes que celle-ci qui retourne lécher ses plaies après cette cuisante défaite.

Ce fut une grande journée, la prochaine le sera davantage.

Je vous trouve bien dur Monseigneur d'Avignon. Les croisés ont touchés à la lumière divine qui leur a échapés in extremis à la dernière charge. Je n'appelle point cela une cuisante défaite mais un enseignement de l'Unique. Notre arrogance a été récompensé par la perte du sanctuaire. N'est-ce point vrai qu'avant l'engagement la plupart des croyants se voyaient déjà en train de prier autour de la sainte-relique au coeur du sanctuaire? Ils auraient dû se concentrer sur le moment présent. Au lieu de gonfler leur égo et leur prétention, ils auraient dû gonflé leur courage et leur persévérance. Comme je l'ai dis, un enseignement de l'Unique. Je retourne prier avec humilité à Montjoie avant de reprendre la route vers ma commanderie de Vallée d'Ambre d'où je ne sais point si j'aurais la force d'en ressortir si l'Unique ne me lance aucun signe.

Oui, prions, mais ne vous en faites pas, ma résolution à reprendre un jour ce lieu saint n'en est pas moins forte.
Nous étions si proches.
Au moins ai-je pu avoir le temps de prier en présence de la relique de Saint-Denis au coeur du Sanctuaire aux côtés de feu Aldebert de roiville, notre bon général...

Sermont donné en la cathédrale de Montjoie
Été de l'an de grâce 1011.

Le Grand-Théocrate dans sa bulle Nulla Salute Extra Ecclasiam garantissait le pardon seulement en cas de victoire. Nos martyres qui n'ont pas reçu le Grand-Baptême sont dans le Purgatoire a pousser éternellement de lourdes charrettes dans de la boue tandis que les païens qui se sont battu pour nous rôtissent en enfer aux côtés de ceux qu'ils ont occis. Tel est le prix de notre défaite.

Pour preuve, allez-voir dans le premier Tôme des Saintes-Écritures, soit le chapitre sur les Neufs Enfer, la Voûte Céleste et le Choeur des Anges.

Quand à nous, si nous avons survécu à cette entreprise, c'est pour mieux préparer la 4e Croisade qui reprendra dans deux ans le Sanctuaire d'Al Saoure Asif..

Deus Vult!

Valmort, Émirat d'Annaba Jabel
An de grâce MXI

La nuit glaciale avait recouvert le campement d'une mince couche de givre. Au large de la Mer Sombre, on voyait apparaitre les premiers rayons du soleil de la journée qui s'annonçait brûlante.  Sur cette mer noir maudite les rayons ne réfléchissait pas, d'où son nom de Mer Sombre.

Le Maître du Temple accompagné du Père Conrade arrivèrent au galop près du campement de l'avant-poste du Duché aux abords de Val Mort. Au centre des pavillons, le feu de camp était en train de mourir sur ses derniers tisons.  Les deux Templiers venaient vérifier cette rumeur selon laquelle la Commanderie du Duché avait déserté.  

``- Te souviens tu Conrade`` dit Monquefort a son compagnon `` dans les premières années de notre Ordre, alors que nous étions si peu nombreux, dans ton découragement, tu m'avait annoncé par trois fois que tu ne croyait plus en l'Ordre du Temple et que tu voulait partir dans une autre guilde?``

``- Oh c'était il y a bien longtemps, en 1002, 1003 et 1004```, répondit l'autre, ``et malgré toute les différences et désaccord que nous avions, tu m'a toujours convaincu de rester. Quand on pense a tous les efforts que nous avons mit depuis dix ans, nous n'en serions pas là si j'avais quitté pour d'autre rivage. Chaque Templier est comme le maillon d'un haubert. Par ses efforts vaillants, sa persévérance, il garde le haubert serré et résistant aux coups. Lorsqu'un anneau lâche, c'est tous le haubert qui s'affaiblit.``

``- Nous avons perdu de nombreux frères avec les années. Le frère Ahab Ibn Chakal, le frère Valois, le frère Heudeubert, le frère Godefroy, frère Montbard, le frère Constantin, la Commanderie du Sud, la Commanderie du Nord et feu Aldebert. Ils sont dans d'autres guildes, morts ou pour la plupart, tout simplement disparu. ``

`` - Chacun de ceux là est une grande perte, car ils avaient leur force, leur talent, leur expérience et surtout leur mythique histoire de personnage avec ses anecdotes et ses hauts faits d'armes. La plupart avait des défauts qui étaient critiqués par de nombreux autres frères. Il y a eu de nombreuses chicanes et des désaccord sur la voix que nous devions suivre. Rappelle toi Monquefort toutes ces fois où nous avons été en lutte moi et toi, ou nous divisions l'ordre en deux factions qui obstinais pendant des semaines, et comme des assiégés, nous restions campés sur nos positions. Ces luttes ont bien faillit mener au déchirement de l'Ordre, mais nous avons toujours trouvé un compromis afin de préserver l'intérêt commun de l'Ordre...``

``- ...et voyez où nous en sommes aujourd'hui. Une des guilde les plus réputé et influente de Bicolline. Je ne peux concevoir que certain frère comme Yves-Jacques, qui depuis 1008 a par ses efforts contribué grandement à notre Ordre puisse s'offusquer des premiers propos d'un nouveau pour décider de quitter l'Ordre et fonder une guilde de nobody...``

``... Effectivement, la susceptibilité de certain frère me surprendra toujours. Où en serions nous si nous avions baissé les bras aux premières critiques? Yves-Jacques n'est pas lui-même le parfait exemple, lui qui est passé de padawan dont nous étions sceptiques a un frère-chevalier qui a bâtie une des commanderie la plus nombreuse, décorum et active de notre groupe. Il me semble qu'ils étaient tous là à notre feste en Vallée d'Ambre ainsi qu'a la croisade. Cette jeunesse est notre relève, ceux qui prendrons le flambeau pour perpétuer l'Ordre. Je prend offense personnellement qu'on ose traité autrement la Commanderie du Duché que par ses hauts-faits d'armes et leurs présences.

``- Il faut se rappeler ces paroles de Saint-Denis qui disait; ``- Si vous n'avez pas d'ennemi, c'est que vous n'avez jamais rien accomplis``.

``- Ils veulent devenir des Bretonniens. Mais ma foi, n'est-ce pas ce que l'Ordre du Temple est déjà? J'ai plusieurs fois dans le passé encouragé nos membres a s'inspirer du décorum Bretonniens. Lorsqu'on veut partir a la recherche de la dépouille d'un saint, quel meilleur médium qu'être un Templier pour se trimballer au travers de territoire hostile avec des os fixés a sa bannière? Pourquoi vouloir partir a zéro d'ailleurs pour recommencer ce qui existe déjà? Affaiblir un ordre puissant pour créer un clan de faiblard.  ``

```- Je ne m'est pas donné autant de mal a régler ces disputes entre les Commanderies pour laisser partir Yves-Jacques et sa bande ainsi. Les vieux de l'Ordre comme moi et toi tiennent beaucoup trop a eux. Les Templiers sans Yves-Jacques c'est comme Godefroy de Montmiraille sans Jacquouille. Je suis sûre qu'il y a moyen de trouver une entente!    

``Dieu le veut``

Yves-Jacques Remonta le foulard qui lui serrais le visage jusqu'au nez. Le vent soufflait et les guerriers devaient protéger leur peau contre la terreur des tempêtes de sel et de sable qui balayaient la terrible vallée de la mort. Cette terre morte qui vraissemblablement n'accueillerais jamais aucune vie quelle qu'elle soit, si ce ne fut qu'elle provienne du plan élémental du chlorure de potassium (dieu le pardonne), s'était étrangement liée à lui et luio à elle, contre toute attente. Même Gunther faisait basse mine à l'idée de quiter leur patrie. Leur poste avancé aménagé dans le flanc d'une colline dans une grote qui contenais semble-t-il les vestiges d'unge civilisdation ancienne (probablement d'hommes lézard un peut rapaces, comme ceux qu'Yves-Jacques avait combattu une nuit uil y a presque un an jour pour jour, mais il ne le saurais jamais vraiment) était maintenant vidé. Puisque ce soir, lui et ses compagnons quittaient Valmort à regret et à contrecoeur, puisque chacun d'entre eux aurait donné leur vie pour protéger cet endroit... non, pas cet endroit, mais ce qui y résidait: l'amitié et la fraternité qui les réunissait plus que tout.

Ils portaient fièrement les couleurs du temple, mais leur allégence allait bientot changer. Yves-Jacques était mélancollique, mais plein d'espoir. Ses frères le suivraient jusqu'en enfer s'il damnais son âme et il le sauveraient du démon, de ça, il en était certain. Si tout les templeirs fussent ses frères, sa commanderie était son sang, né de sa force, de sa volonté, de son charisme et de sa persévérence, il avait su réunir au même endroit des êtres capable de tout, puisque dans leur coeur résonais la même passion et la même fraternité qui les unissait, à la vie, à la mort.

La gamelle, un modèle de droiture et de jsutice,
François, Un combattant comme nul autre et un fonceur né,
Gunther, Un homme humble et au coeur grand,
Marie, une femme ayant la passion d'apprendre de lui, et ayant la persévérence de devenir la meilleure,
Et ses fidèles recrues, dont plusieurs venaient de se joindre à sa cause­.

Yves-Jacques paquetais son cheval pour une guerre. Il allait templier, mais reviendrais autre chose.

Cette nuit là il eut le temps de se confesser au maitre et à sdn vieil ami Conrade, Camarade qui l'avait toujours soutenu dans ses efforts et qui probablement au fond avait toujours cru en lui, dès qu'il s'étaient serrés la main au haut d'une palissade sombre et qu'Yves-Jacques, naif, lui avait demandé "Conrade du Saint-Sulpice n'est point là?" et qu'il lui avait narquoisement répondu: "non, Conrade s'en viens demain.

-" Mes frères, j'ai perdu mon droit de porter ce saint tabard. J'ai transgressé la règle à maintes reprises. J'ai tué un croyant, et Dieu a cessé de me parler. C'est un signe mes frères. Je dois retirer ces couleurs avant d eleur fair ehonte. J'entreprends un pèlerinage, aucour duquel je ferai une longue quête dans le but de récupérer mon âme et ma salvation en protégeant les reliques au nom du seigneur, en faisant la guerre aux hordes du chaos qui déferlent sur les terres alors que notre attention indivisée est posée sur le sanctuaire... S'il le faut, je combattrai l'innomable, mais je retrouverai la foi et la ferveur qui jadis m'animaient et alors seulement lorsque mon oeuvre sera terminée, mon âme poura-t-elle reposer en paix. Je quite, mais mes amis ont exprimés la volonter de quiter aussi, pour les mêmes raisons ou pour d'autres, ils me suivront jusque dans la mort. Je suis désolé, cela aura été bien, mais ce n'Est certainement pas le dernier boyut de chemin que nous ferons ensemble. Vous restez mes plus fidèles amis, mais sachez que si votre maréchal persiste à l'arrogance qui l'accable, je n'aurai pas de honte à en répopndre par le fer lorsque mon tabard sera remis entre vos mains. Et veillez a ce que mon désert reste propre en mon absence, voulez-vous bien? Conrade, les chiens, tu dois les nourire de viande fraiche 2 fois par jour d'accord, oublie pas."

Gunther était assis dans le réfectoire, s'empiffrant de viande et de bière.
Cette défaite au Sanctuaire il y a de ça quelques mois lui avait laissé un goût amère dans la bouche qu'il tentait de faire partir avec la gourmandise. Trop souvent, il mangeait de la viande et volait la part des autres frères et son ventre menaçait d'exploser à tout moment. Il porta son bock un peu trop richement décorer pour son rang à ses lèvres dégoulinante de graisse et fit disparaître la boisson alcoolisé en un rien de temps.

Ses yeux étaient cernées. Il dormait très peu ces temps ci. Lorsque ce n'était pas les images de la croisade porté futilement pour reprendre le Sanctuaire qui hantaient ses rêves, il rêvait être en Enfer où ses péchés étaient punis. Tout les soirs, c'était la même histoire.

Sa gourmandise et sa colère le tueront, il en subira la perdition.

Comment éviter ceci? Que devra-t'il faire pour se repentir?

Il tenait la solution!
Il allait...

- Mon frère, annonça frère Yves-Jacques tout en entrant dans le réfectoire,paqueter vos paquetages, préparer vostre équipage, nous partons en queste. Nous allons...
- Chercher les Reliques, je sais. Puisse le Maître nous pardonner une telle désertion. Je suis certain que le Maestre sera miséricordieux. Partons compagnon. Vers l'infini et plus loin encore comme on dit! Je traverserai terres et mers, enfers et autres plans afin de trouver une seule de ces reliques qui évitera à mon âme la Perdition.

Le Maître du Temple réfléchi longuement au propos de ces deux amis. Il se leva et ramassa quelque buche qu’il déposa dans le feu. Rapidement, le brasier repris de la vigueur. Monquefort observa ses frères Templiers qui étaient réunis dans le campement et pris la parole.

``- Le Maitre a souvent d’étrange responsabilité… Il est tellement plus que juste une Fonction…, il est le ciment qui soude le noyau, afin que règne la paix, en permanence.

``- Que j’aime ce mots ‘’Paix’’

Le Frère Frédéric Tourna les yeux en direction du soleil levant et murmura,

``- Ils ne peuvent rien sans moi et je ne peux rien sans eux, ils sont mon bût premier, ma raison d’être!

Descendant les yeux des cieux il retourna son regard vers ses nombreux amis.

``- Frère Chevalier Yves-Jacques, tu as le droit de porter le blanc manteau, plus que beaucoup d’autre. Le Démon essaye de tromper ton esprit, tu n’a pas transgressé nos lois et s’il en est l’une que tu a transgressé et bien elle tes pardonné! L’Unique est bien silencieux, mais il écoute nos prières. Ton pèlerinage, je te vois le faire, a nos coté!

``- Frère La gamelle, Frère Franz, Frère Gunther, Sœur Marie et mon bon et vielle ami, Frère Yve Jacques, ce qui constitue notre force, c'est d'avoir fait ensemble de grandes choses dans le passé et de vouloir en faire encore dans l'avenir. Rester Solidaire est essentiel et il faut travailler ensemble pour atteindre la voie de notre Salut.

``- Comme viens de mentionner mon très vielle ami, mon seigneur et Bien heureux Père du Saint-Sulpice, nous avons vue passé de nombreux désaccord et de nombreuse querelle intestine. La remise en question est un élément essentiel pour grandir, vous passé actuellement un moment de réflexion et j’aimerais que vous preniez le temps nécessaire pour réfléchir au choix que vous croyez le meilleur pour votre commanderie. La seul façon de régler des mésententes est de confronter les causes pour trouvé des solutions et non de les fuires! Je suis fier de voir tout le progrès que votre commanderie a accompli et je souhaite de toute mon âme, que les frères et sœur du Temple de la commanderie du Duché continue de représenter l'Ordre des Templiers.






``- Votre avenir n’est pas dans une quête d’ermite solitaire, mais il est avec nous, a nos coté pour assuré la balance des forces interne et externe du Temple !

Il est dommage que la Commanderie du Duché veulent quitter. Le frère Uldéric ne sera pas des nôtres cette année et il nous fallait un nouveau Commandeur des Terres. Comme le mentionnait Monquefort et la Commanderie d'Anjou, je suis sûre que Yves-Jacques aurait été un bon candidat car il a toujours voulu s'occuper des terres et coffres.

Mon bon Chevalier, Frère Yves-Jacques, Il y a une semaine le frère de Belmont, nous as annoncé qu’il ne pourrait surement pas venir pour sept jour entier sur le Duché de Bicolline. Uldéric, ne peux pas accomplir c’est fonction de trésorier a plein temps comme prévu, il souhaite dont que vous deveniez le prochain commandeur des terres du Temple!

La commanderie du Centre appuis ta recommandation, la commanderie d’Anjou appuis ta recommandation et le Maitre l’appui aussi! Notre Maréchal na pas été mis au courant, mais notre appuis suffira amplement!

La commanderie du Duché aura dont leur commandeur au saint de l’état major du Temple et ils auront la responsabilitée des terres et du coffre de l’Ordre des Templiers.

Nous croyons en vous!


Non nobis Domine non nobis sed Nomini Tuo da gloriam

"Il est facile de croire en nous puisque nous nous sommes toujours montré dignes. Cependant je ne peux en dire de même de la part de certains. Baffouer mon nom et celui d'un ami chère autre fois aurait valu à certains 3 flèches empoisonées bien enfouies dans l'épine dorsale. Mais je ne suis plus de cette engeance. La Vérité Monquefort, ce n'est pas que vous êtes un mauvais maitre, ni même que la plupart des templiers soient de mauvais frères. Mais l'engeance du malin et l'arrogance des fous a su prendre racine dans l'esprit de certains hommes. Comme dit l'adage: "éprouvez leurs esprits pourvoirs s'ils viennent vraiment de dieu".

"Non pas pour nous mon dieu, non pas pour nois, mais pour la gloire de ton nom!" Qu'est vraiment la sinifacation de ces mots? Autrefois je le reconnu dan notre Ordre. si glorieux, si fier. Aujourd'hui je vois des âmes perdues en quête de gloire personelle et d'enrichissement. L'or ne m'intéresse pas, pas plus que les terres, vous par dessus tout devriez le savoir. Je ne suis pas de la race qu'on achète avec un titre ou une propriété. Je suis cependant de ceux qui jugent le mérite des gens de par leurs actions. Je ne crois pas mériter le titre de commandeur des terres, pas plus que n'importe qui.

Sachez ceci, je ne pars pas pour toujours, car toutes les routes ont un jour une fin. Et je ne pars pas non plus en ennemi, mais en ami, et peut-être que vous serez plus heureux de me retrouver au sein du temple dans l'avenir. Je sais que les temps sont dures et que les esprits courageux sur qui compter se font minces, mais sachez ceci: tant que Gabriel de Chatillon seralibre de blasphémer le nom de mes frères et de mon Ost, je ne renouvèlerai aps nom plus mes voeux. Je lui suis ainé templier depresque 4 ans, Gunther de 2 ans et La Gamelle de 3 ans également. Il nous doit respect, templiers ou non, et mon Ost ne suivra jamais un homme de cette arrogance sur le champs de bataille, plutot mourir. Nous combattons pour Dieu, pour la justice, pour l'Ordre, pour l'Illumination, pour la Vérité et pour la Charité, non pour la gloire, l'arrogance et le pouvoir.

Vous êtes de parfaits frères, mais s'il est une chose, une seule chose qui vous est à être reproché et la seule, il s'agit en fait d'avoir laissé un homme baffouer le nom de vos frères de plus longue date. Autrement, vous avez fait preuve d'une résilience et d'un honneur hors de portée des simples mortels.